dimanche 20 novembre 2011

TORSO célèbre Joe Dante


Tandis que le dernier John Landis sortait dans une relative indifférence (Cadavres à la pelle, sorti fin aout 2011), le fanzine TORSO préparait son numéro 8 dédié à Joe Dante, l'autre grand  dévoreur de genres du cinéma américain des années 80. L'actualité éditoriale consacrée au réalisateur est d'ailleurs largement plus prolixe que sa production cinématographique, au point mort depuis 2003 (Les Looney Tunes passent à l'action) si l'on excepte un film invisible (The Hole, 2009, inédit en France... et aux Etats-Unis), ses projets avortés et ses deux mémorables Masters of Horror
Les éditions Rouge Profond sortent ce mois de novembre Joe Dante, l'art du je(u), ouvrage cumulant analyse de l’œuvre et entretien avec le réalisateur. Point de concurrence ici puisque l'auteur du livre, Frank Lafond, offre au fanzine TORSO quelques pages consacrées à la participation de Joe Dante au projet enterré : The Greatest Show Ever.  Il n'est qu'un des nombreux collaborateurs d'un numéro auquel j'ai eu la joie d'apporter ma contribution et, qu'au mépris de toute déontologie, je vous recommande chaudement. La variété des approches, qui passe allègrement de l'étude analytique à quelques échappées revigorantes (un questionnement à la fois ludique et très révélateur sur le sketch de Dante pour la version cinéma de La Quatrième Dimension), permet une lecture en zigzag, un voyage au pays des Gremlins qui va du rire aux Hurlements sans crier gare. Le tout est accompagné d'une interview du réalisateur qui s'avère passionnante... et un peu déprimante : " Mon dernier film n'est même pas sorti aux Etats-Unis. J'ai vu que le nouveau John Carpenter n'est sorti qu'en VOD, et que le dernier Peter Weir repose sur une étagère depuis je ne sais  combien de temps, attendant d'être distribué. Alors bien sûr, j'ai des projets, plusieurs, mais l'un d'entre eux seulement trouvera-t-il des fonds ?"
En attendant ce retour hypothétique et pour combattre cette frustration cinématographique, un peu de lecture ne peut que faire du bien. 

mercredi 16 novembre 2011

Grausam Rouge... bientôt le 2


Entre fanzine, revue de luxe et objet de culte, revoici Grausam Rouge, la production papier de l'éditeur Hantik Films. Le principe est de célébrer un film par numéro. 
Le numéro 2, annoncé pour le 14 décembre, proposera 20 pages entièrement dédiées à Hellraiser II, les écorchés. Privilégiant au maximum les photos en haute définition, tout en couleurs, Grausam Rouge contient aussi du texte : une présentation du film et du contexte dans lequel il est sorti. Le rédactionnel est proposé en 5 langues (français, anglais, allemand, italien et espagnol).
Pour couronner le tout, à rebours de la tendance générale, les amis d'Hantik Films réussissent l'exploit de l'année : le prix de la revue a baissé depuis le premier numéro !!!



Pour plus d'infos et pour se procurer directement Grausam Rouge, ça se passe .




lundi 7 novembre 2011

Cannes en décembre

Pour la troisième année consécutive, les Rencontres Cinématographiques de Cannes accueillent Peeping Tom. Cette année, le thème de l'édition est "Le cinéma fait sa comédie".
Le jeudi 8 décembre 2011, deux films proposés par notre fanzine : Le Grand Bazar, choisi par notre spécialiste des Charlots, Julien Camy (voir dossier dans Peeping Tom numéro 1) et Top Secret !, la plus belle réussite des Z.A.Z.
Après la venue l'année dernière de Christian Philibert et Mohammed Metina, respectivement réalisateur et acteur principal de Travail d'Arabe, on espère d'autres surprises cette année...

Plus de rensignements sur les RCC ici.

vendredi 4 novembre 2011

Welcome to the videodrome


Enfin ! Après l'initiative bienveillante de la formidable équipe de La Caverne des Introuvables qui a extirpé des oubliettes plus de 60 numéros de L'Oeil du Cyclone, un des producteurs de l'émission a réagi et commence à mettre à son tour les belles heures de ce kaléidoscope visuel à disposition de tous en bonne qualité.
Ceux qui connaissent L’Oeil du cyclone n'ont pas besoin qu'on leur fasse l'article, ceux qui sont trop jeunes ou passés à côté, feraient bien d'aller découvrir un programme qui n'a connu aucun équivalent depuis, inventif, insolite et libre, démontrant que l'outil télé, employé avec l'imagination et l'appétit nécessaires, peut produire de bien belles choses.   

jeudi 3 novembre 2011

Dommage...


Ben non, Torso ne pourra pas fêter son nouveau numéro à Marseille, comme prévu. On le regrette sincèrement, d'autant plus qu'ils n'y sont pour rien, apparemment lâchés à la dernière minute par leurs hôtes...
Cela ne nous empêchera pas d'attendre avec impatience ce nouveau numéro consacré à Joe Dante, qui devrait arriver très, très bientôt.
A suivre, donc !

mercredi 2 novembre 2011

Affiches du cinéma français


Sans juger de la qualité des films, sortis en octobre 2011, à deux semaines d'intervalles, les similitudes entre ces deux affiches laissent songeur. 
À priori, elles sont dues à deux agences différentes et il est peu probable qu'une volonté de copier soit à l'origine de cette ressemblance. En revanche elles trahissent une certaine tendance actuelle du cinéma français : un cinéma qui filme des bureaux, des couloirs et des hommes en costard-cravate. Certains d'entre-eux ont des téléphones portables qu'ils ne lâchent jamais et sont suivis de fidèles collaborateurs, d'autres ont un sac à la main. Mais ils sont tous sérieux, voire graves, malgré la lumière qui leur arrive du côté droit. 
Cette austérité est renforcée par le lettrage sobre et massif du titre, par des polices de texte classiques, en noir, blanc ou gris, même si l'opportunité d'une sélection à Cannes amènera une touche dorée du meilleur goût.
Ces films racontent le pouvoir, l'entreprise, l'institution, la violence feutrée, la stratégie sociale, commerciale, politique... Ils ont un label (France Info ou France Inter) et, en beaucoup plus petit, une bonne vingtaine de "partenaires" qui ont probablement rendu possible leur financement. Parmi les sujets qu'ils traitent, les travers qu'ils dénoncent, ils montrent souvent, avec conviction, l'obsession de l'apparence et de la communication dans le monde d'aujourd'hui...
Est-il possible que cette troublante coïncidence d'affiches soit due, tout simplement,  à un manque d'imagination ?

samedi 29 octobre 2011

Deux pointures à la radio

Mardi 1er novembre à 17h, l'émission Culture Prohibée diffuse deux interviews de réalisateurs de cinéma fantastique de haut vol : George Romero qu'on ne présente plus, et Lucky McKee, qu'on présente encore mais ça ne va pas durer (May, l'épisode de Masters of Horror intitulé Liaison bestiale et, aujourd'hui, le très attendu The Woman récompensé de l'Octopus d'or ET du prix du public au dernier Festival de Strasbourg)
Ce sera audible ici mardi à 17h, puis en rediffusion le samedi à 10h et le dimanche à 23h et, plus tard, podcastable sur le site des Films de la Gorgone

vendredi 21 octobre 2011

Dinosaures en tous genres

Le coffret  Destination Mars constituait déjà une belle plongée au sein de toute une partie oubliée de la production cinématographique des années 50. Avec Les Dinosaures attaquent, Artus Films fait preuve d’un superbe travail éditorial en compilant un précieux matériau qui donne une idée assez complète de l’irruption des géants préhistoriques dans le cinéma de genre.
Quatre long métrages des années 50, quelques courts muets de Willis O’Brien (animateur génial des créatures du Monde perdu, 1925 et de King Kong, 1933), auxquels il faut ajouter bandes-annonces, diaporamas des affiches d’époque,  le coffret est complété par un livret qui balaye avec humour la carrière des dinos au cinéma, des origines aux années 60, et quatre belles cartes postales reproduisant affiches et photos d’exploitation : le menu est roboratif.
La qualité des films est évidemment à juger avec un certain recul. Leur intérêt réside avant tout dans le fait qu’ils témoignent d’un cinéma disparu, daté, parfois maladroit, voire complètement aberrant, mais aussi inventif et sans complexe, osant les séquences les plus incongrues sans se départir d’un certaine foi dans le pouvoir du cinéma.
Le premier constat est que la créature préhistorique abolit les genres : science-fiction  (King Dinosaur), film de jungle (Lost Continent), mais aussi, plus surprenant, un film de pirates (Two Lost Worlds) et même un western (The Beast of Hollow Mountain). On sent bien l’inspiration de producteurs, prêts à tout pour rassembler les publics des différents genres avec ces séries B caractéristiques. Productions relativement modestes (Le plus riche étant The Beast of Hollow Mountain, en couleurs et en cinémascope !), durées réduites (de 58 min à 80 minutes pour Lost Continent qui s’avère effectivement un peu longuet…) les films ne présentent pas de stars, les effets spéciaux sont sommaires et le manque d’argent se voit à l’écran.
Il ne faudrait pas pour autant négliger l’imagination et le charme qui compensent ces handicaps.  Dans ce coffret, la palme revient à Two Lost Worlds. Démarrant en trombe sur une attaque de pirates bien orchestrée, le film suit les aventures de Kirk Hamilton, blond et baraqué mais blessé, qui prend quelques jours de repos dans un village australien. Là, il joue les jolis cœurs, séduit les filles et agace les hommes, avant de voir ses soupirantes enlevées par un retour de pirates. Après une poursuite mouvementée, le film tourne à la robinsonnade sur une île fort inhospitalière, au sein de laquelle les créatures préhistoriques ne sont pas le pire danger… Outre le rythme enlevé et les personnages sympathiques, le film réussit parfaitement ses changements de ton et, s’il abuse des images d’archives pompées à droite à gauche, celles-ci font mouche et renforcent un souffle aventureux convainquant. 


Le western tient également bien la route, même si, à l’image du film de pirate, il réserve aux « craignos monsters » une part finalement sommaire. Encore des rivalités amoureuses, cette fois sur fond de choc des cultures entre américains et mexicains, le scénario gentillet réserve quelques moments de bravoure, dont une charge de bétail affolée et un dinosaure qui tire la langue…
Moins rythmés, Lost Continent et King Dinosaur sont signés de deux tacherons de longue haleine. Bert I. Gordon, fasciné par les géants (Les Cyclopes, Le Fantastique homme colosse) raconte dans King Dinosaur l’échappée de deux couples de scientifiques sur Nova, nouvelle planète (qui ressemble furieusement aux forêts américaines) fraîchement apparue dans notre système solaire, peuplée de créature antédiluviennes. Quand à Sam Newfield (auteur plus tard d’un calamiteux western entièrement joué par des nains : Terror of tiny town), il envoie une bande de mâles virils dans le Pacifique à la recherche d’une fusée. 
Le Russe est-il un fourbe ? Peut-on être amoureux d’un avion au point de lui parler comme à une femme ? Pourquoi ces hommes courageux ont-ils peur de créatures ostensiblement herbivores ? Comment expliquer que quelques douzaines de rafales de fusils ne viennent pas à bout d’un Tyrannosaure alors qu’une seule balle abat un ptérodactyle ? Autant de questions auxquelles ne répond pas le film...



Les masters sont plutôt de bonne qualité avec une mention particulière au rouge flamboyant du décolleté de Patricia Medina dans The Beast of Hollow Mountain et, surtout, à la belle photo bien restituée de Two Lost Worlds.
Lost Continent souffre de quelques drops à l’image, compensés par le joli filtre vert qui envahit un tiers des images du film, habilement expliqué par les protagonistes.   
L’ensemble constitue une compilation d’un intérêt à la fois historique et ludique, un riche panorama de ce que fut un certain cinéma commercial dont on peine aujourd’hui à mesurer l’impact sur le spectateur de l’époque. On reste ainsi perplexe devant les personnages de King Dinosaur qui, après avoir réglé la menace préhistorique à coup de bombe atomique, prononcent cette sentence définitive : « Nous avons amené la civilisation sur la planète Nova ». Le film s’achève alors sur une musique optimiste, tandis que se développe le champignon nucléaire…

Tim Burton (Ed Wood) Joe Dante (Panic sur Florida Beach) ou même plus récemment Michel Hazanavicius (The Artist) célèbrent un cinéma naïf et décomplexé dont il est bien difficile de trouver l’héritage dans le cinéma actuel. Le travail d’Artus Films permet en tous cas de constater qu’il a bel et bien existé. 


mercredi 5 octobre 2011

Vient de paraître

Pour commander le numéro 5 de Peeping Tom, cliquez sur l'onglet "Boutique PEEPING TOM" en haut de la page, ou contactez-nous a tompeeping@free.fr.

 

jeudi 22 septembre 2011

Hantik Films joue la carte du mystère

La première victime de "L'as de pique"

Tomorrow at Seven, troisième film édité par Hantik Films, appartient à une catégorie obsolète du cinéma qui fit fureur dans les années 30. Le "whodunit?" ("Quilafait?"), pour lequel Alfred Hitchcock n'avait que mépris et condescendance, garde pourtant un charme particulier. Ce n'est pas tant dans le principe de découvrir l'assassin que réside le plaisir du spectateur : ici, le délit de sale gueule fait loi et un minimum d'intuition vous désignera le coupable. Mais l'élaboration de scénarios à tiroirs, l’ambiguïté des personnages, les retournements de situations, le gout des faux-semblants et des fausses pistes, entrainent le film sur une pente ludique et interactive, interpellant sans cesse le spectateur. Bien sûr, les stéréotypes sont légion et l'enchainement des faits peu vraisemblable, mais, dès le meurtre initial, que l'assassin (hors-champ) ponctue en jetant un as de pique sur le cadavre, le scénario de Ralph Spence va accumuler les énigmes et les coups de théâtre, enfermant ses personnages dans une demeure dangereuse après un voyage en avion mouvementé. 

D'autres atouts rythment ce cinéma daté : deux policiers idiots et prétentieux, préfigurant les Dupont de Tintin, sévissent tout au long du film, soupçonnant le héros, entravant la résolution du mystère en multipliant les erreurs grossières. Quant à Vivienne Osborne, elle fait partie de ses charmantes actrices oubliées d'une époque dorée du cinéma de genre. 
Si des contraintes techniques obligent Hantik Films à recadrer le film et donc à serrer un cadre déjà très rempli par les personnages, on appréciera la clarté et le contraste d'une image qui va tout de même sur ses 80 ans.  A souligner aussi : le visuel de toute beauté qui orne la jaquette et les vannes de Jean-Pierre Putters qui Putterise à mort sur le livret multilingue (Allemand, Anglais, Italien, Espagnol,Français : langues des sous-titres.)



Enfin, impossible de garder le silence sur ces deux nouveaux chapitres du sérial Undersea Kingdom qui constitue les bonus de cette collection DVD. Dans les volets 5 et 6, les méchants, coiffés de bonnets de bain à crête, semblent prendre le dessus sur nos héros descendus à Atlantis. Le sixième épisode se termine ainsi sur un cliffhanger de haute-voltige qui crée une attente d'autant plus forte sur les prochaines sorties d'Hantik Film.

"Crash" Korrigan, héros bien outillé du feuilleton Undersea Kingdom

Plus de renseignements sur le site d'Hantik Films


vendredi 26 août 2011

Mars contre-attaque

Fligh To Mars de Lesley Selander : on s'y croirait !

Jamais à court de bonnes idées, l'éditeur Artus Film sort le 27 septembre 2011 un coffret intitulé Destination Mars. Il regroupe quatre incunables des années 50, période dorée de la SF de série B qui vit la "planète rouge" faire l'objet d'un nombre impressionnant de réalisations américaines, souvent naïves et fauchées, mais dotées d'un charme inimitable. 
Soucoupes volantes, expéditions en fusées, martiens hostiles, fourbes, étranges, bizarroïdes ou humanoïdes... un imaginaire aussi éloigné des vérités scientifiques que possible au service de fantasmes plus ou moins paranoïaques. Si on a beaucoup glosé depuis sur les sous-textes politiques de certains de ces films (l'hostilité d'une planète ROUGE au temps où l'ennemi est le bloc communiste ne peut pas être tout à fait un hasard...), reste aujourd'hui un riche panorama cinématographique, une saveur, certes nostalgique, mais qui réussit encore à émerveiller le rêveur qui sommeille en nous.

Au programme de ce coffret :
LES ENVAHISSEURS DE LA PLANETE ROUGE - William Cameron Menzies - 1953
24H CHEZ LES MARTIENS - Kurt Neumann - 1950
FLIGHT TO MARS - Lesley Selander - 1951
RED PLANET MARS - Harry Horner - 1952
plus quelques agréments dont Artus Film est coutumier (livret, lobby cards, courts métrages)

En pré-vente sur le site de l'éditeur à 18,90€...  Enfin les voyages interplanétaires en low cost ! 



samedi 13 août 2011

Scare-ific, volume 3


Hantik Films, émanation hautement recommandable des créateurs de Sin'Art, attaque la rentrée avec une nouvelle sortie DVD. Après les deux titres de Bela Lugosi que nous avions chroniqués ici même (Black Dragons et The Death Kiss), l'éditeur poursuit sa résurrection de films anciens avec Tomorrow at Seven, annoncé pour le 7 septembre.

Voici le résumé du film : Dans un vieux et sombre manoir, les protagonistes sont menacés par un mystérieux assassin. Ce dernier remet subrepticement à ses futures victimes une carte à jouer annonçant l’heure exacte de leur mort. Mais « L’As de Pique » sera démasqué par le beau et ténébreux Chester Morris, spécialiste des rôles virils et romantiques.

Il est précisé au passage que le personnage de L'as de pique a probablement inspiré Le Joker, célèbre ennemi de Batman. Une pièce de plus à ajouter au dossier des influences cinématographiques sur la BD de Bob Kane, après The Bat Whisper et son justicier masqué (cf : Peeping Tom numéro 2).

Comme pour les deux premier titres de la Scare-ific collection, le livret est signé du maître Jean-Pierre Putters, et on retrouve en bonus deux nouveaux épisodes de notre sérial adoré : Undersea Kingdom.

A suivre donc...

mercredi 3 août 2011

Le Feuilleton de la rentrée

Votre affluence, vos encouragements et votre fidélité sur notre série en 18 épisodes Hollywood Babylone ont été grandement appréciés ici-bas.
Mais maintenant que c'est fini, qu'est-ce qu'on fait ?


Le prochain feuilleton du blog s'attaquera à l'histoire du cinéma par la face nord. Dans le désordre chronologique le plus total, et en prenant quelques sentiers de traverse par rapport aux travaux sérieux et officiels, nous raconterons par l'insolite, l’anecdotique, l'hypothétique et, parfois, le véridique, quelques épisodes piochés au hasard dans plus d'un siècle d'aventures et de légendes cinématographiques.
Contrairement à Hollywood Babylone, il ne s'agira pas d'une adaptation mais d'une création. Cependant nous ne nous gênerons pas pour aller pêcher la matière première là où elle se trouve : livres et revues de cinéma, bonus DVD,  interviews, mémoires et autobiographies plus ou moins fiables de celles et ceux qui font et ont fait le cinéma, etc.

Le feuilleton Les petites histoires du cinéma démarrera à l'automne 2011.

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